Le vol de 11h Se passe très bien, j'ai un anglais très sympa à coté de moi (ma
place 21B est juste devant la porte principale du Boeing 747) et Christophe
a réussi à avoir une place a coté d'une porte, ses jambes respirent. Je
n'ai pour ma part dormis que 1h, malgré 1mg de Temesta pris à 17h soit 1h du matin,
heure du Japon. Christophe a eut plus de chance avec 2-3h, notre dose doit
être plus élevée.
Kansai Internationnal Airport 2h45 heure de Paris
Arrivée dans les temps ( 8h30 heure locale ) - ON EST AU JAPON !
Passage à la douane un peu strict avec fouille minutieuse de mon baguage.
Attente du "limousine bus" n°8 pour Kyoto station - Après qqes essai nous
avons compris qu'il y avait deux files d'attentes et deux destination
différentes pour la même ligne.
L'Aeroport international est en fait construit sur une ile de beton
entièrement créée par la main de l'homme.
Kyoto - 11h30
Après plus de 2h de bus à 2300¥, nous arrivons à Kyoto. Capture d'un
taxi, comme dans un Western, devant la gare de Kyoto. Le taxi téléphone au
Ryokan pour savoir où il se situe - apparement c'est courant. Midi
arrivée au ryokan - mon magnétisme animal nous fait entrer au Ryokan après
une petite demi-heure d'attente devant une porte ... ouverte. Après
quelques difficultées pour se faire comprendre nous procédons à
l'enregistrement de l'hotel avec la maitresse des lieu, une vieille
Japonaise que nous appelerons Oba-san ( signifie grand-mère en Japonnais -
peut être utilisé pour des gens ne faissant pas partie de la
famille ), nous somme finalement arrivé dans notre chambre. Petit
détail : nous avons payé en liquide et le jour de l'arrivée, du coup il ne
nous restait plus grand chose en liquide. La
chambre et petite ( nous nous y attendions ) et le seul meuble est une table basse, aucune
chaise - Bienvenue au Japon. Le plafond est un peu bas, mais Christophe à l'habitude
de faire attention.
La première chose qui nous a frappé, c'est la disparité des batiements
et la nuée de poteaux et de cables aériens. On peut avoir un immeuble de
10 étages à coté d'une bicoque en bois vermoulu qui vends ce qui ressemble
à un vide-grenier. La multitude de commerce nous introduit dans la
société de service Japonnaise ( Christophe dirait "c'est un pays
d'assistés" ). Il existe un métier pour toute les tâches, même les plus
insignifiants ( Guider les touristes dans la bonne file sur les aéroport, nettoyer les rembardes d'escalier, diriger
les passant devant des travaux, etc ... ).
Découverte de la galerie commerciale de l'aile ouest
de la gare, 20 restaurants cote à cote, 1 boulangerie (test d'un petit
pain au curry et d'un petit pain au melon -
pas mal). On
pourrait se demander comment font ces restaurants pour survivre, mais il faut
savoir que le déjeuner et le diner sont
très rarement pris à la maison. Les echopes se
suivent et ne se ressemblent pas, certains magasins qui en France sembleraient à
l'abandon, sont ici en fait en plein activitée.
Des timbres sont disponibles dans le magasin
BellMart dans la gallerie commerciale de la gare (70¥/timbre pour une carte postale).